Determine if the number of days in menses affects back squat strength gains and to assess the feasibility of using autoregulation in resistance training.
Equipment and methodsNineteen (n = 19) eumenorrheic, recreationally trained female subjects (age: 32 ± 3.78 years, body mass 64.68 ± 6.18 kg, height 167.79 ± 6.02 cm) participated in three resistance training sessions per week over 12 weeks. Sets and repetitions were fixed, with subjects adjusting intensity using repetitions in reserve (RIR). Pre- and post-1-repetition maximum strength tests (1RM) measured back squat strength gains. Subjective measures were taken via the Borg's Rate of Perceived Exertion scale (RPE) and the Total Quality Recovery questionnaire (TQR). Menstrual cycle (MC) data was collected from subjects via the FitrWoman app.
ResultsParticipants recorded 100% of the required data and completed all prescribed training sessions. A significant increase in mean back squat strength was observed (n = 19, P < 0.001, d = 0.67). Performance data showed no significant differences between fewer or more days in menses for back squat tests, total training volume load, and TQR results. There were significant increases in session RPE for subjects with more days in menses (F [10, 170] = 2.175, P = 0.021, np2 = 0.113). There was no significant increase in body mass over the 12 weeks.
ConclusionThe study demonstrates that days in menses do not significantly affect training outcomes, but a higher perceived exertion was reported for those with more days in menses. Furthermore, the research demonstrates autoregulation is a feasible approach for training female athletes.
RésuméObjectifDéterminer si le nombre de jours de menstruation affecte les gains de force au squat arrière et évaluer la faisabilité de l’autorégulation dans l’entraînement en résistance.
MéthodesDix-neuf (n = 19) femmes euménorrhéiques, entraînées de manière récréative (âge : 32 ± 3,78 ans, masse corporelle 64,68 ± 6,18 kg, taille 167,79 ± 6,02 cm) ont participé à trois séances d’entraînement en résistance par semaine pendant 12 semaines. Les séries et répétitions étaient fixes, avec une intensité ajustée par les sujets en utilisant les répétitions en réserve (RIR). Des tests de force maximale en une répétition (1RM) ont été effectués avant et après pour mesurer les gains de force au squat arrière. Des mesures subjectives ont été prises via l’échelle de l’évaluation perceptive de l’effort de Borg (RPE) et le questionnaire de Récupération de Qualité Totale (TQR). Les données du cycle menstruel (CM) ont été collectées auprès des sujets via l’application FitrWoman.
RésultatsLes participantes ont enregistré 100 % des données requises et ont complété toutes les séances d’entraînement prescrites. Une augmentation significative de la force moyenne au squat arrière a été observée (n = 19, p < 0,001, d = 0,67). Les données de performance n’ont montré aucune différence significative entre les sujets ayant moins ou plus de jours de menstruation pour les tests de squat arrière, le volume total d’entraînement et les résultats du TQR. Une augmentation significative du RPE des séances a été constatée chez les sujets ayant plus de jours de menstruation (F [10, 170] = 2,175, p = 0,021, np2 = 0,113). Aucune augmentation significative de la masse corporelle n’a été observée au cours des 12 semaines.
ConclusionL’étude démontre que le nombre de jours de menstruation n’affecte pas significativement les résultats de l’entraînement, mais qu’une plus grande perception de l’effort a été rapportée chez celles ayant plus de jours de menstruation. De plus, la recherche montre que l’autorégulation est une approche faisable pour l’entraînement des athlètes féminines.
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